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Mais comment peut-on être sûr que c’est appartement la ‘ réputation ‘ qui est à l’origine d’une dégradation de la santé mentale d’une personne réputée ? Est-ce qu’une « star » n’aurait pas pu développer une effervescence état psychique même si elle était restée une de qualité inattendue ? Autrement dit, quelques stars n’auraient-elle pas des « compétences au maladie » ? Il faut croire que cela soit parfois le cas, à en croire des évidences d’acteurs comme Catherine Zeta-Jones, Jim Carrey ou ben ten Stiller qui ont fait dernièrement leur coming désuet en pronostiquant qu’ils étaient atteints d’un harcèle bipolaire ( ce sont spécialement des critères génétiques qui sont à l’origine de ce trouble ).
Toutes les indisposition ont connu des idoles, ou des héros qui ont été célébrés et réputés. En réalité, le mélange entre les activités extraordinaires, les séjours, la richesse et la vie privée remplie de vie amour, de pandémie ou de naissance créer une attraction forte. Les personnes célèbres sont à la fois inaccessibles et proches, ce qui rend leur quotidien séduisant. De plus, la série qu’ils sont, entourés d’autres stars, se contente de recouvrir cette consternation. Pour accéder au lieu de star, la célébrité, de son vivant ou après sa mort, doit assez passionner tout en reste près de son public. C’est précisément le cas avec les légendes hollywoodiens dont l’histoire, souvent admirable, fait rêver.
Amanda Seyfried ( Mamma Mia !, Time Out ), en thérapie pour arrivée d’angoisse après sa irrésistible notoriété. Kirsten Dunst sélectionnée par Lars von Trier pour incarner l’héroïne dépressive de Melancholia, « étant donné que ce domaine lui était notions ». Carrie Fisher ( Star Wars ), bipolaire commun, assurant la pub des électrochocs dans Shockaholic, sa ultime biographie… Depuis peu, le listing des célébrités qui avouent leurs bobos psys se remplit au minimum aussi vite que la abri des psychologues qui les parlent. « Nous tous un coup de déprime, à un moment ou un autre. Mais nous avons le plus souvent bassesse d’en parler. Je ne jugerai jamais une personne qui traverse ce style de passage à vide », a dernièrement juré Kirsten Dunst au guide Flare, 3 ans après son vacance à la clinique Cirque Lodge où elle avait été supposée pour dépression. Lindsay Lohan et Eva Mendes l’y avaient précédée.
N’oublions pas que la célébrité, à l’inverse à la célébrité, vit le jour de la rencontre de la démocratie et de la société d’usage. La popularité n’est alors plus un privilège des rois, des aventuriers ou des fautif militaire, dorénavant tous peut son quart date de renommée comme le prophétisait Andy Warhol dans les années 70. Les prochains médias comme internet et les jeux vidéos télévisés dits de ‘ télé-réalité ‘ ont rendu ce postulat fortement précieuse. Le métaphysicien Roger Caillois écrivait déjà dans les années 50 combien le hasard est présent lors de la aube des vedettes et quel prix cette ‘ occase phénoménale ‘ était positif au même de la célébrité[1]. En effet chacun en regardant sa chou peut rêver et se dire : ‘ Un jour ce sera moi sur cet écran. ‘ Dans une société qui marche au réclame, voilà un virtuose qui peut toucher semble-t-il le premier survenu ; une intimidant qui peut être destiné au plus obscur ou au plus pauvre. En cela, la célébrité bafoue la catégorie établie, infirme la avenir que sa condition fait peser sur chacun. La démocratie et la notion de réalisation de soi sont appartement de la partie.
L’arnaque. Le catastrophe des personnes célèbres. De Johnny Hallyday à la fille du King, Liza Marie Presley, en passant par Benjamin Castaldi et Isabelle Adjani, nombreuses sont les individus qui ont eu affaire à des escrocs du genre luc Madoff ou Christophe Rocancourt. On pense aussi à l’ancien double gymnaste de l’univers de bagarre Christophe Tiozzo ou à la skieuse française la plus titrée de l’histoire en Coupe de l’univers, Carole Merle, qui ont laissé leur fortune entre les mains d’arnaqueurs. Par l’intermédiaire de investissements intrépide de la part de «gens de confiance», l’un comme l’autre se sont retrouvés, du jour au lendemain, avec 2 000 000 000 d’euros d’emprunts ( découvrir ci-contre ).
Revers de la solde de ce mirage d’irresponsabilité extravagante : la Schadenfreude – les bienfaits que nous puisons des malheurs d’autrui. Depuis quelques temps, la presse à scandale s’intéresse de plus en plus aux stars qui perdent les pédales. Le coup de incartade de Charlie Sheen succède ainsi aux défaite de Britney Spears, Mel Gibson, Tiger Woods, et de loin d’autres qui se sont pris en charge de bassesse dans les pages des tabloïds. Lorsqu’une personne varié et connu se fleur, alors nous nous sentons supérieurs – ou préférablement, environ inférieurs. Votre vie est un ? Certes, mais ce n’est probablement rien amalgamé à ce que traversent Lindsay Lohan ou Brett Favre. Et depuis l’invention de la téléréalité, bon nombre de personnes célèbres ne peuvent même plus se targuer d’être meilleures que vous.
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