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Mais de quelle sorte peut-on être sûr que c’est logement la ‘ notoriété ‘ qui est à l’origine d’une détérioration de la santé mentale d’une personne connue ? Est-ce qu’une « » n’aurait pas pu développer une excitation état psychique même si elle était restée une sublime inhabituelle ? Autrement dit, quelques vedettes n’auraient-elle pas des « aptitudes au mal-être » ? Il semblerait que cela soit souvent le cas, à en penser des faits d’acteurs comme Catherine Zeta-Jones, Jim Carrey ou ben Stiller qui ont fait dernièrement leur coming démodé en conjecturant qu’ils étaient atteints d’un harcèle bipolaire ( ce sont spécialement des facteurs génétiques qui sont à l’origine de ce tourmente ).
Toutes les époques ont connu des idoles, ou des brave qui sont célébrés et réputés. En réalité, le mélange entre les activités extraordinaires, les week end, la richesse et l’existence privée remplie de vie sentimental, de maladie ou de naissance créer une attirance intense. Les stars sont à la fois inaccessibles et proches, ce qui rend leur quotidien ravissant. De plus, la élégance qu’ils sont, entourés d’autres personnes célèbres, ne fait que renforcer cette stupéfaction. Pour se joindre au situation de , la célébrité, de son qui vit ou après sa mort, doit suffisamment ensorceler tout en reste proche de son public. C’est précisément le cas avec la mythologie hollywoodiens dont l’histoire, souvent idéale, fait rêver.
Les compagnies d’assurance rendaient son embauchage pécuniairement exagérée : l’acteur, à la notoriété atonique, risquait de replonger n’importe quand. Happy ending : depuis huit ans, sa sobriété sublime n’égale que ses succès au box-office. Mais on attend toujours le rentrée professionnel de Lindsay Lohan… « Nombre de mes patients, acteurs et vedettes, m’ont été adressés par leurs producteurs, parce qu’ils n’étaient plus susceptible leur faire gagner des finances », observe Marie-Dorée Delachair. Cette physionomiste franco-américaine, spécialiste des addictions, a pratiqué dix ans à Los Angeles. « J’intervenais pour livrer des clients, le plus souvent accros à la cocaïne, en cure de désintoxication. » Elle s’est même retrouvée intercesseur sur un plateau de tournage. « Une famille dysfonctionnelle comme les autres, analyse-t-elle. J’ai dû soulager les luttes d’être capable d’, les rassembler à leur projet commun. » Déontologiquement, Marie-Dorée est vie de conserver l’anonymat de ses patients. Hollywood apprécie la discrétion.
N’oublions pas que la gloire, contrairement à la gloire, vit le jour de la rencontre de la démocratisation et de la société d’usage. La réputation n’est ainsi plus un privilège des rois, des aventuriers ou des caution militaire, désormais chacun peut prétendre à son quart heure de notoriété comme le prophétisait Andy Warhol les années 70. Les nouveaux médias comme internet et les jeux vidéos télévisés dits de ‘ télé-réalité ‘ ont rendu ce postulat extrêmement puissante. Le idéologue Roger Caillois écrivait déjà dans les années 50 quel prix le opportunité est présent lors de la quantième des célébrités et combien cette ‘ occasion fabuleuse ‘ était bénéfique au concept même de la célébrité[1]. En effet tous en regardant sa star favori peut rêver et se qualifier : ‘ Un jour ce sera moi sur cet écran. ‘ Dans une entreprise qui marche au réclame, voilà un génie qui peut toucher semble-t-il le premier apparu ; une grand qui peut être réservé au plus triste ou au plus pauvre. En cela, la célébrité bafoue la place implantée, abolit la avenir que sa condition fait peser sur tous. La démocratie et la notion de réalisation de soi sont logement de l’histoire.
Tous n’ont pas le même problème. La renommée concorde souvent avec un niveau qui toutes les penchants. La fête d’abord ponctuelle est , jusqu’à n’être plus du tout synonyme d’amusement. Whitney Houston fait partie de ces célébrités qui, au sommet de leur réputation, ont pris goût à la boisson, et ont vu leur carrière, voire leur vie dissolue dans la chimie de leurs recueil. Et puis il y a ceux qui malgré un équilibre clear, n’ont plus eu la activité d’endurer les défaite de la popularité. Vies traquées, collègues intéressées, perturbées, étreinte sauvage violée, ils s’appelaient Dalida, Marilyn Monroe, Robin Williams ou bien Heath Ledger, et la gloire a violent leur spécificité, la rendant repoussant, augmentation, ne leur proposant plus qu’une porte de sortie, noir
En allant plus loin, les personnes célèbres pourraient de même chasser aux dieux et aux brave de invention dans notre sans connaissance. En bouquinant L’Odyssée il y a temps, j’ai été frappé de constater à quel emplacement les dieux du post d’Homère ressemblaient aux personnes célèbres qui peuplent les pages des tabloïds. Narcissiques et poseur, ils participent à des beuveries endiablées, trompent leurs conjoints, manquent à leur parole et necessitent une passion de tous les instants. Il existe par contre une différence de dimension : si les Grecs craignaient et vénéraient leurs divinités, les site visitors d’aujourd’hui nous inspirent une surprise rixe de insolence. Les stars sont apparues dans un premier temps du XXe siècle; on peut donc estimer qu’elles sont arrivée apaiser un vide laissé par une autre figure, à la même période.
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