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Le chantre Stromae confiait ces temps derniers être « timide » pour sa santé mentale, et qu’il souhaitait s’arrêter dans . Trop d’effets ? Trop de fatigue ? Trop de médiatisation ? Stromae n’est pas le premier astre à remémorer ce domaine de la santé mentale en lien avec l’exposition médiatique : de Marilyn Monroe à Britney Spears, les exemples sont multiples. Alors la célébrité pourrait-elle vraiment faire « vesser les plombs » ? voici quelques éléments de réponse.
Une mobile à l’ancienne en psycho offre un effet d’association inspiré. ceci c’est fondé sur l’observation que de nombreuses personnes essayent de conserver des paléographie des moments importants de leur vie. On peut imaginer la première saillie de café, aux musiques photos, à des chaussures union parmi quelques photos milieu d’une palette infinie d’alternatives. Dans ce cas, l’achat d’un balle disposant fait à une réputation qui a influencé notre vie ne serait rien de plus qu’une tentative d’attacher la rappel de cette personne à un modèle qu’il est possible de conserver avec soi. Une second prétexte, plus naturaliste, mérite aussi d’être examinée. Le prix des tromperie pourrait au plus juste être décidé par une parité entre offre et demande du marché des vente aux enchères. Les acquisition d’une célébrité sont, par définition, différents et donc fortement rares. Cette caractéristique est convenable pour faire accroître de façon impétueux le coût d’un objet qui devient un investissement bancaire.
Amanda Seyfried ( Mamma Mia !, Time Out ), en psychothérapie pour accès d’angoisse après sa irrésistible renommée. Kirsten Dunst choisie par Lars von Trier pour incarner l’héroïne dépressive de Melancholia, « puisque la problématique lui était compréhension ». Carrie Fisher ( Star Wars ), bipolaire officiel, couvrant la pub des électrochocs dans Shockaholic, sa dernière biographie… Depuis peu, la liste des vedettes qui avouent leurs bobos psys se remplit au minimum aussi rapidement que la tente des thérapeutes qui les traitent. « Nous connaissons tous un coup de déprime, à un moment ou l’autre. Mais nous avons généralement regret d’en parler. Je ne jugerai une personne qui ce type de passage à vide », a dernièrement juré Kirsten Dunst au guide Flare, 3 ans après son vacance à la clinique Cirque Lodge où elle avait été admise pour dépression. Lindsay Lohan et Eva Mendes l’y avaient précédée.
Autre étape du développement, le phrase du hublot de Lacan, est le moment de se résliser tout entier dans son propre virtuel. L’enfant devant le hublot passe de l’image reflétée au regard parental et attend l’acquiescement de son augmentation. Le regard de l’autre est basal de la manière dont on s’imagine soi. Ainsi convient-il de donner l’impression d’être pour élaborer qui l’on est. La star dans la rue interroge le passant pour savoir dans quel virtuel elle se construit. Ce que le passant renvoie est une vision d’un monde irréel. L’image reflétée par l’admirateur est parfois celle d’un cosmos. Le célèbre, dorénavant galactique, évacue l’espace terrestre et devient une référence inouïe tout seul. Ce qu’il distingue dans les regards participe à le constuire à une autre échelle que celle de l’humanité.
Ça fait quoi d’être une ? «Un tort fou», répliquait Brigitte Bardot en 1962 dans «Vie Privée». Ophélie Winter pourrait aujourd’hui emporter le but. Depuis 60 jours, les images de la descente aux enfers de la chanteuse des années quatre-vingt-dix font la une de la presse site visitors. Sans lieu, criblée de dettes, la gloire impulsion dans les rues parisiennes, écumant les chambres d’hôtel de la paris. Comment une chanteuse fortuné a-t-elle pu se retrouver dans cette situation en à peine quelques années ? Contactée en direct dans l’émission de Cyril Hanouna, l’interprète de «Dieu m’a donné la foi» a révélé quelques signe : «C’est pas l’éclate, mais tout est de ma infraction. Quand tu te fais voler ou quoi que ce soit, l’unique dénominateur commun, c’est toi».
Explication la plus évidente : nous autres êtres humains aimons vivre par procuration; nous identifier aux échantillons plus riches, plus célèbres, plus beaux et plus en vogue que le reste de notre génération. Qu’elle soit formulée en termes de contrevent, d’admiration ou de raillerie, la sympathie pour les célébrités est tout d’abord une transfert : nous tentons d’imaginer ce que ce serait de vivre la vie plus simple et plus sympatique. Ainsi la vie de lascivité de Charlie Sheen correspond-elle aux besoins de beaucoup d’entre nous, qui souhaitent s’affranchir des standards bourgeoises. Partir en weekend aux Bahamas sur un gerbe en comité restreint au milieu de jolies personnes célèbres du porno, remplir une bagage de briques de cocaïne, acheminer pâturer votre patron : face à un tel conduite, le «quelle ignominie ! » n’est jamais très loin du «si seulement c’était moi…».
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